Depuis le temps où j'y pense, je te dédie
Ce poème, neutrissime encyclopédie.
A toi, aucun lieu, aucun jour n'est inconnu
Érudite et méticuleuse fée savante.
Tu ne chantes pas, ne crie pas, ni n'invente
Ni n'habille de broderies la vérité nue.
Ton imperfection appelle perfectionnisme
Qui corrige vite se lèche les babines
De doigt menu et frêles en neurones fines
Chaque synapse dessine un idéalisme.
Quand j'explore tes lieux, qui sont aussi les miens
Une fierté me vient, j'écris pour elle aussi
Je contribue sur la gamme du do au si
J'en rougis de plaisir mais je bleuis des liens
Tu as vingt ans comme moi, jeune, j'ai ton âge
J'ignore s'il est mauvais ou bon, fou ou sage
D'exposer à la fin du poème un message :
Joyeux anniversaire projet des sans pagEs.
↑Mosconi, Nicole (2017), Bertrand Russell, philosophe de l’éducation, 51 (1), Le Télémaque, ISSN1263-588X, doi:10.3917/tele.051.0135|access-date= requires |url= (help); première consultation (circonstancielle) le 17 mars 2021.
Je te souhaite de tenir la distance
Tenir le choc de l’époque sans perdre le sens
Du silence des feux d’artifices
De récolter le fruit de tous tes sacrifices
Je te le souhaite sincèrement
Simplement sans faux semblant sans serment